Mes aventures de sobre au bar : conte intégral
Pendant que les headbangers éberlués constatent qu’y a pas de barmaid dans le périmètre, je vais commander une bière, en étant sobre...
S'aimer, bien à jeun...
J'écris principalement sur mon cheminement à travers la sobriété, vous trouverez tous les textes relatifs dans l'onglet Boisson. Merci d'être là !
Pendant que les headbangers éberlués constatent qu’y a pas de barmaid dans le périmètre, je vais commander une bière, en étant sobre...
Est arrivée une distanciation beaucoup plus cruelle qui rend plus difficile l’accès entre un consommateur et son produit : l’inflation.
Texte anniversaire sur la mort de mon père.
Ça a déjà été difficile d'être capable d'arrêter.
Tu es sobre et tu penses à boire, mais as-tu fais ces étapes-ci ?
Une absence de soucis induite par une drogue, n’est-ce pas l’élixir qu’on cherche tous ?
Les Jägerbombs ont été effacé de l’ardoise de la buvette pour faire place aux jus verts.
Se soûler, les alcooliques repentis vous le diront tous, c’est vivre à crédit.
En quête de poquées qui me montreraient que le chemin de la destruction, la négligence, du vice, pouvait être autant glamour que nihiliste.
Mon nouvel appartement est à moins de 200 mètres du bar où j’ai pris ma dernière brosse.
Debunkés par une sobre
Des lignes du trottoir qu'on évite aux bières qu'on débouche.
Réflexions d’un automne matinal
Retour sur un journal où on se cherche à se sortir d’un marasme maudit qui nous envahit : Dépression, idées de mort.
Ça voulait dire que je buvais tous les jours et que je rentrais travailler… sauf quand je callais malade.
Une personne qui utilise son statut d’ancien pour exercer une ou des formes de prédation et/ou d’abus sur une nouvelle personne recrue.
À chaque comportement qui enfreint notre ligne, qui dépasse nos limites, on se raidit davantage, on s’éloigne d’un petit mètre de plus.
J'ai jamais vraiment trippé sur le fait d'être en vie, globalement.
Alors écrire. Alors dire. Ces mots qui sont bien moins épeurants sur une feuille ou un écran, que dans l’ombre de nos têtes folles.
"Comment tu fais ?, qu’il m’a bafouillé. J’y parle alors que c’est plus facile que les quelques jours de sevrage qu'on pense connaître."