Le Courrier du Foie
Répondre aux questions posées sur la sobriété comme un courrier du coeur... pour le foie !
S'aimer, bien à jeun...
J'écris principalement sur mon cheminement à travers la sobriété, vous trouverez tous les textes relatifs dans l'onglet Boisson. Merci d'être là !
Répondre aux questions posées sur la sobriété comme un courrier du coeur... pour le foie !
Boire à la télé est devenu un concours de candeur. On ne s’excuse plus des débordements, et on blâme tout sans nommer l'alcoolisme.
Entrevue sur la sobriété et la dépendance avec Sylvain Marcel.
Réflexion sur une des formes de dépendance dans les relations.
Je quittais le bloc, laissais la soûlonne derrière moi, en portant, dans ma dernière petite boîte sous le bras, mon plant de lavande.
Reconnaître nos pulsions d'alcoolique pour mieux les apprivoiser, pis les tuer.
Et je buvais mes eaux, plate et minérale, avec une paille, me disant, que j’étais probablement l’humain le plusse meilleur au monde.
Si vous avez peur de perdre vos amis en choisissant d’arrêter de boire, peut-être que ces amis-là valent la peine d’être perdus.
Quatre filles ont partagé leur cheminement.
Quand vouloir manger de la marde est quelque chose qui dépasse la condition de dépendant ou de sobre.
Il s'en vient tard, mon carrosse s'encitrouillise Jeune chaudronne, je me cendrillonne et Pourtant, pourtant, je ne m'en va pas.
Que ce soit une détox au jus vert, une dépression ou une shire de coke, perdre quelques livres sera toujours encouragé par votre entourage.
Le mensonge de l’alcoolique, c’est de refuser le reflet du clown alors qu’il met lui-même le costume tous les soirs.
Est-ce que j'allais réussir à arrêter cette fois-ci ou j'allais choker et me décevoir, encore ?
Les chemises en flanelle se sont déchirées sur l’autel du rock and roll pour un zouiz sous-marin.
Mode d’emploi pour affronter cette affreuse nouvelle.
C’est comme si la société disait que ça te prend un char pis de la bière pour fonctionner.
Sans avoir connu la Poune, pas mal sûre qu’elle chuggait pas sa bouteille en attendant que le régisseur lui dise « Stand by 15 ».
Mais « pardonner », gueule ouverte, langue sortie, en attendant que la vie nous dépose une hostie nouvelle me semble suspicieux.
J’ai ce feeling indécollable que je dois constamment donner cinquante piastres pour qu’on m’en donne vingt-cinq.