Pour tenir tête aux ennemis (Pourquoi rester en vie ?)
Parler de la mort sous tout angle et couture et décousures.
S'aimer, bien à jeun...
J'écris principalement sur mon cheminement à travers la sobriété, vous trouverez tous les textes relatifs dans l'onglet Boisson. Merci d'être là !
Parler de la mort sous tout angle et couture et décousures.
Il n’y a pas de tigre dans ta cour…
Isolement, doutes & deuils, et Sandra Bullock...
Une absence de soucis induite par une drogue, n’est-ce pas l’élixir qu’on cherche tous ?
Mais quoi faire si on a le moral bas, quand pourtant tout va, et qu’on avait habitude, dans pareils moments, d’en virer une crisse ?
Post étincelle, de sobriété et de fumée...
Toul’monde est malheureux toul’temps, comme dit la chanson, après tout. (Tam ti di dam.)
Retour sur un journal où on se cherche à se sortir d’un marasme maudit qui nous envahit : Dépression, idées de mort.
Dans le chemin de la vulnérabilité vers la fermeté, rien ne sert de rusher.
Une personne qui utilise son statut d’ancien pour exercer une ou des formes de prédation et/ou d’abus sur une nouvelle personne recrue.
Quelques conseils avant de se lancer dans la romance en rétablissement.
J'ai jamais vraiment trippé sur le fait d'être en vie, globalement.
Explorer l'origine de nos états, en rétablissement et à frette.
Alors écrire. Alors dire. Ces mots qui sont bien moins épeurants sur une feuille ou un écran, que dans l’ombre de nos têtes folles.
Ça peut pas être la maladie juste quand mal pris, pour gommer de notre parcours tout ce qu’on a fait de moins beau, de pas correct.
Quand "c'est la faute de l'alcool".
Acquis ou inné, ce penchant pour le brandy & clés sniffées ?
Réflexion sur une des formes de dépendance dans les relations.
Mais « pardonner », gueule ouverte, langue sortie, en attendant que la vie nous dépose une hostie nouvelle me semble suspicieux.