L’alcoolique féministe, ou la mort de la fun cochonne carefree
En quête de poquées qui me montreraient que le chemin de la destruction, la négligence, du vice, pouvait être autant glamour que nihiliste.
S'aimer, bien à jeun...
J'écris principalement sur mon cheminement à travers la sobriété, vous trouverez tous les textes relatifs dans l'onglet Boisson. Merci d'être là !
En quête de poquées qui me montreraient que le chemin de la destruction, la négligence, du vice, pouvait être autant glamour que nihiliste.
Mais quoi faire si on a le moral bas, quand pourtant tout va, et qu’on avait habitude, dans pareils moments, d’en virer une crisse ?
Mon nouvel appartement est à moins de 200 mètres du bar où j’ai pris ma dernière brosse.
Post étincelle, de sobriété et de fumée...
Moins de 48 heures après un des plus beaux moments de ma vie, j'ai perdu mon logis.
Debunkés par une sobre
Toul’monde est malheureux toul’temps, comme dit la chanson, après tout. (Tam ti di dam.)
Des lignes du trottoir qu'on évite aux bières qu'on débouche.
Réflexions d’un automne matinal
Retour sur un journal où on se cherche à se sortir d’un marasme maudit qui nous envahit : Dépression, idées de mort.
Ça voulait dire que je buvais tous les jours et que je rentrais travailler… sauf quand je callais malade.
Dans le chemin de la vulnérabilité vers la fermeté, rien ne sert de rusher.
Une personne qui utilise son statut d’ancien pour exercer une ou des formes de prédation et/ou d’abus sur une nouvelle personne recrue.
À chaque comportement qui enfreint notre ligne, qui dépasse nos limites, on se raidit davantage, on s’éloigne d’un petit mètre de plus.
Quelques conseils avant de se lancer dans la romance en rétablissement.
Explorer l'horizon avant de continuer les idylles en guérison.
En enlevant le but de m'y soûler en sarfe, 98% des activités ont perdu leur attrait pour moi, d'un coup. Alors, qu'est-ce qui reste ?
J'ai jamais vraiment trippé sur le fait d'être en vie, globalement.
Explorer l'origine de nos états, en rétablissement et à frette.
Alors écrire. Alors dire. Ces mots qui sont bien moins épeurants sur une feuille ou un écran, que dans l’ombre de nos têtes folles.