La petite crisse de voix
Reconnaître nos pulsions d'alcoolique pour mieux les apprivoiser, pis les tuer.
S'aimer, bien à jeun...
J'écris principalement sur mon cheminement à travers la sobriété, vous trouverez tous les textes relatifs dans l'onglet Boisson. Merci d'être là !
Reconnaître nos pulsions d'alcoolique pour mieux les apprivoiser, pis les tuer.
Et je buvais mes eaux, plate et minérale, avec une paille, me disant, que j’étais probablement l’humain le plusse meilleur au monde.
Si vous avez peur de perdre vos amis en choisissant d’arrêter de boire, peut-être que ces amis-là valent la peine d’être perdus.
Quatre filles ont partagé leur cheminement.
Le mensonge de l’alcoolique, c’est de refuser le reflet du clown alors qu’il met lui-même le costume tous les soirs.
Est-ce que j'allais réussir à arrêter cette fois-ci ou j'allais choker et me décevoir, encore ?
Mode d’emploi pour affronter cette affreuse nouvelle.
C’est comme si la société disait que ça te prend un char pis de la bière pour fonctionner.
Sans avoir connu la Poune, pas mal sûre qu’elle chuggait pas sa bouteille en attendant que le régisseur lui dise « Stand by 15 ».
L’impatience. Comme si le fil des semaines qui deviendrait des années n’était qu’un éternel dernier cinq minutes avant le last call.
Beauport et Metallica, ça va ensemble comme l’auriculaire & l’index pointés vers un ciel sombre orageux pour headbanger sur Enter Sandman.
Facile, de ne pas boire quand tout est fermé, mais quoi faire quand la région passe au vert ?
Sobre, mais sobre égal...
C’est un peu ça le but. De la sobriété, je pense bien. D’arrêter de souffrir.
Je sais dans quel état je serai dans cinq heures, et ça me donne une impression de pouvoir et de liberté sans égal.
Quand je bois, les marins fuient le bateau, insultés raides de ma langue crachée sans savon.
Il existe un réel étourdissement dans l’ivresse. Un genre d’abandon de poupée échappée, qui s’explique difficilement sans l’avoir vécu...
Conseils de sobriété par des personnes ayant vécu la dépendance.
Échanger l'amertume de la honte pour le miel du triomphe.
50 jours sans alcool, où j'en suis...