Le faux portail en vitre brune
Je ricanais, déjà idiote après les premières gloues, de tous ces lécheurs de botte de l’établissement qui marchaient de pair avec le système
S'aimer, bien à jeun...
J'écris principalement sur mon cheminement à travers la sobriété, vous trouverez tous les textes relatifs dans l'onglet Boisson. Merci d'être là !
Je ricanais, déjà idiote après les premières gloues, de tous ces lécheurs de botte de l’établissement qui marchaient de pair avec le système
Encore à ce jour, je reçois parfois des T’en souviens-tu quand 1) t’as lancé ta brassière au chanteur/serveur/brigadier/briqueleur/etc...
En passant d'un épisode à l'autre j'ai été graduellement fascinée des échos identiques à cet alcoolisme que j'ai bataillé pendant des années
🎶 "Changer pour que l'amour (de soi) arrive, changer pour que la boisson nous déliiivre..."
Les miracles pour fleurir, doivent commencer par germer quelque part.
Des réponses ajustées aux questions du lectorat, pour le sujet intemporel de la sobriété !
Je m'engage ici à me poser les questions les plus fréquentes sur la sobriété et d'y répondre aussi.
Si le bon sens ne marche pas, essayez ça.
Il m’arrive de regretter ce temps où je croyais au Père Noël de la boisson, l'illusion qu'y existait quelque part un Pôle Nord sans douleur.
Pendant que les headbangers éberlués constatent qu’y a pas de barmaid dans le périmètre, je vais commander une bière, en étant sobre...
Ça a déjà été difficile d'être capable d'arrêter.
Tu es sobre et tu penses à boire, mais as-tu fais ces étapes-ci ?
Se soûler, les alcooliques repentis vous le diront tous, c’est vivre à crédit.
Mais quoi faire si on a le moral bas, quand pourtant tout va, et qu’on avait habitude, dans pareils moments, d’en virer une crisse ?
Mon nouvel appartement est à moins de 200 mètres du bar où j’ai pris ma dernière brosse.
Debunkés par une sobre
Réflexions d’un automne matinal
Dans le chemin de la vulnérabilité vers la fermeté, rien ne sert de rusher.
Explorer l'origine de nos états, en rétablissement et à frette.
Alors écrire. Alors dire. Ces mots qui sont bien moins épeurants sur une feuille ou un écran, que dans l’ombre de nos têtes folles.