Une Saint-Patrick comme les autres
J’avais hâte de parler de la Saint-Patrick dans ma lentille d’alcoolisme et maintenant de sobriété.
S'aimer, bien à jeun...
J'écris principalement sur mon cheminement à travers la sobriété, vous trouverez tous les textes relatifs dans l'onglet Boisson. Merci d'être là !
J’avais hâte de parler de la Saint-Patrick dans ma lentille d’alcoolisme et maintenant de sobriété.
734 jours sans consommer, et 1 meeting de Narcotiques Anonymes, cette blogueuse de sobriété fait vraiment les choses à l’envers !
Chaque mois, je réponds aux questions de cheminement à travers la sobriété ou entourant l’alcoolisme, du mieux de ma perspective de sobre !
Rendre hommage à quelques figures importantes, du petit et grand écran, dans l'art. Et de leur donner le traitement sobriété.
Acquis ou inné, ce penchant pour le brandy & clés sniffées ?
Il y a une tristesse maudite dans les tavernes, une protection grise et de bois plaqué qui couve les petits drames de chagrin immense.
Fourrer à jeun : Qu'ossa donne ? Réflexion et avis sur la sexualité avec et sans boisson.
Chu mêlée comme un jeu de cartes et on pourrait conclure que j'aime ça, de proche comme de loin.
Chaque mois, je réponds aux questions sobriété posées en stories sur ma page et mon instagram !
Je sais pas quand je vais payer le loyer en retard, mais je sais à quelle heure je m'en vais boire. Ode à une tendre mottée.
L’alcoolisme à la télé, on applaudit ! Est-ce qu’on glorifiera l’alcool, fatalisera ses conséquences, romantisera des clichés ?
Qu’en est-il quand ça va pas et que tu ne consommes plus ?
À qui ressemblez-vous quand vous buvez ?
Répondre aux questions posées sur la sobriété comme un courrier du coeur... pour le foie !
Boire à la télé est devenu un concours de candeur. On ne s’excuse plus des débordements, et on blâme tout sans nommer l'alcoolisme.
Entrevue sur la sobriété et la dépendance avec Sylvain Marcel.
Réflexion sur une des formes de dépendance dans les relations.
Je quittais le bloc, laissais la soûlonne derrière moi, en portant, dans ma dernière petite boîte sous le bras, mon plant de lavande.
Reconnaître nos pulsions d'alcoolique pour mieux les apprivoiser, pis les tuer.
Et je buvais mes eaux, plate et minérale, avec une paille, me disant, que j’étais probablement l’humain le plusse meilleur au monde.