L'insoutenable légèreté d'être à jeun
Est-ce que j'allais réussir à arrêter cette fois-ci ou j'allais choker et me décevoir, encore ?
S'aimer, bien à jeun...
J'écris principalement sur mon cheminement à travers la sobriété, vous trouverez tous les textes relatifs dans l'onglet Boisson. Merci d'être là !
Est-ce que j'allais réussir à arrêter cette fois-ci ou j'allais choker et me décevoir, encore ?
Les chemises en flanelle se sont déchirées sur l’autel du rock and roll pour un zouiz sous-marin.
Mode d’emploi pour affronter cette affreuse nouvelle.
C’est comme si la société disait que ça te prend un char pis de la bière pour fonctionner.
Sans avoir connu la Poune, pas mal sûre qu’elle chuggait pas sa bouteille en attendant que le régisseur lui dise « Stand by 15 ».
Mais « pardonner », gueule ouverte, langue sortie, en attendant que la vie nous dépose une hostie nouvelle me semble suspicieux.
J’ai ce feeling indécollable que je dois constamment donner cinquante piastres pour qu’on m’en donne vingt-cinq.
L’impatience. Comme si le fil des semaines qui deviendrait des années n’était qu’un éternel dernier cinq minutes avant le last call.
Quand un riche promène son proverbial pinisse en orbite pour montrer qu’il pisse plus loin que tous les terriens.
Beauport et Metallica, ça va ensemble comme l’auriculaire & l’index pointés vers un ciel sombre orageux pour headbanger sur Enter Sandman.
Facile, de ne pas boire quand tout est fermé, mais quoi faire quand la région passe au vert ?
Quand la coercition excite davantage qu’une fille qui veut.
Entre Denise Bombardier et Che Guevara, contre Elvis Gratton : Réflexion sur pourquoi on est si cave.
Les évolutions collatérales possibles du mouvement #MeToo.
Liberté sexuelle et refus de la charge mentale. Possible ?
Critique du spectacle Running Piece
Cancel culture ou gel de monétisation temporaire ?
Si je pouvais parler à mon moi soûl, je lui dirais...
Quand la nouvelle génération redécouvre une tueuse en série à qui on pourrait « enfin » s’identifier.
Sobre, mais sobre égal...