Le célibat de la guérison
Liberté sexuelle et refus de la charge mentale. Possible ?
S'aimer, bien à jeun...
J'écris principalement sur mon cheminement à travers la sobriété, vous trouverez tous les textes relatifs dans l'onglet Boisson. Merci d'être là !
Liberté sexuelle et refus de la charge mentale. Possible ?
Critique du spectacle Running Piece
Cancel culture ou gel de monétisation temporaire ?
Si je pouvais parler à mon moi soûl, je lui dirais...
Quand la nouvelle génération redécouvre une tueuse en série à qui on pourrait « enfin » s’identifier.
Sobre, mais sobre égal...
C’est un peu ça le but. De la sobriété, je pense bien. D’arrêter de souffrir.
Dans dix, neuf, huit, sept jours, ça fera un an que je cuvais ma dernière brosse.
Je buvais comme on tète la fiole d’un remède miracle.
Tu te fais grainer si tu le fais, tu te fais grainer si tu le fais pas.
Je sais dans quel état je serai dans cinq heures, et ça me donne une impression de pouvoir et de liberté sans égal.
En 24 heures, mon onglet à réac’ a reçu un éventail de pistes que je m’en vais éclaircir avec un grand plaisir de sobre ici...
Est-ce qu’on peut moudre son génie dans du jingle capitaliste sans se faire mal ?
Quand je bois, les marins fuient le bateau, insultés raides de ma langue crachée sans savon.
La vie me donnait des étrons et je n’avais pas appris à faire de l’étronade.
Ça se traduit en devenant un adepte de l’alimentation bio, sniffer des lignes de Metamucil et égrainer du chia avec notre carte de crédit.
La décadence alimentaire en vogue n’a plus sa place une fois sobre. Ce serait comme aller dans une orgie romaine juste pour jaser.
Le dépaysement qu c'est de voyager à jeun pour la première fois, même pas loin, ça saisit.
Éviter le blues des fêtes en étant à jeunt.
Questionner la foi, un soir où je me scrappais le foie.