Se guérir avec un six pack d’eau plate
L’impatience. Comme si le fil des semaines qui deviendrait des années n’était qu’un éternel dernier cinq minutes avant le last call.
S'aimer, bien à jeun...
J'écris principalement sur mon cheminement à travers la sobriété, vous trouverez tous les textes relatifs dans l'onglet Boisson. Merci d'être là !
L’impatience. Comme si le fil des semaines qui deviendrait des années n’était qu’un éternel dernier cinq minutes avant le last call.
Quand un riche promène son proverbial pinisse en orbite pour montrer qu’il pisse plus loin que tous les terriens.
Beauport et Metallica, ça va ensemble comme l’auriculaire & l’index pointés vers un ciel sombre orageux pour headbanger sur Enter Sandman.
Facile, de ne pas boire quand tout est fermé, mais quoi faire quand la région passe au vert ?
Quand la coercition excite davantage qu’une fille qui veut.
Entre Denise Bombardier et Che Guevara, contre Elvis Gratton : Réflexion sur pourquoi on est si cave.
Les évolutions collatérales possibles du mouvement #MeToo.
Liberté sexuelle et refus de la charge mentale. Possible ?
Critique du spectacle Running Piece
Cancel culture ou gel de monétisation temporaire ?
Si je pouvais parler à mon moi soûl, je lui dirais...
Quand la nouvelle génération redécouvre une tueuse en série à qui on pourrait « enfin » s’identifier.
Sobre, mais sobre égal...
C’est un peu ça le but. De la sobriété, je pense bien. D’arrêter de souffrir.
Dans dix, neuf, huit, sept jours, ça fera un an que je cuvais ma dernière brosse.
Je buvais comme on tète la fiole d’un remède miracle.
Tu te fais grainer si tu le fais, tu te fais grainer si tu le fais pas.
Je sais dans quel état je serai dans cinq heures, et ça me donne une impression de pouvoir et de liberté sans égal.
En 24 heures, mon onglet à réac’ a reçu un éventail de pistes que je m’en vais éclaircir avec un grand plaisir de sobre ici...
Est-ce qu’on peut moudre son génie dans du jingle capitaliste sans se faire mal ?