Pour tenir tête aux ennemis (Pourquoi rester en vie ?)
Parler de la mort sous tout angle et couture et décousures.
S'aimer, bien à jeun...
J'écris principalement sur mon cheminement à travers la sobriété, vous trouverez tous les textes relatifs dans l'onglet Boisson. Merci d'être là !
Parler de la mort sous tout angle et couture et décousures.
J’éteins les conversations en faisant cette fameuse danse que toute femme connaît de la politesse « tue-moi pas mais achale-moi pu »...
Encore à ce jour, je reçois parfois des T’en souviens-tu quand 1) t’as lancé ta brassière au chanteur/serveur/brigadier/briqueleur/etc...
La femme qui boit trop ne sera pas élue Roi du party, on la trustera pas comme un bon buddy mais comme une irresponsable, une insatiable.
L'euthansie légalisée pour les toxicomanes canadiens dès ce printemps, dans une dystopie près de chez vous.
Court essai sur l'apprentissage de la beauté féminine.
Est arrivée une distanciation beaucoup plus cruelle qui rend plus difficile l’accès entre un consommateur et son produit : l’inflation.
Les Jägerbombs ont été effacé de l’ardoise de la buvette pour faire place aux jus verts.
Dans le chemin de la vulnérabilité vers la fermeté, rien ne sert de rusher.
En enlevant le but de m'y soûler en sarfe, 98% des activités ont perdu leur attrait pour moi, d'un coup. Alors, qu'est-ce qui reste ?
J'ai jamais vraiment trippé sur le fait d'être en vie, globalement.
Ça peut pas être la maladie juste quand mal pris, pour gommer de notre parcours tout ce qu’on a fait de moins beau, de pas correct.
Quand "c'est la faute de l'alcool".
J’avais hâte de parler de la Saint-Patrick dans ma lentille d’alcoolisme et maintenant de sobriété.
Acquis ou inné, ce penchant pour le brandy & clés sniffées ?
Boire à la télé est devenu un concours de candeur. On ne s’excuse plus des débordements, et on blâme tout sans nommer l'alcoolisme.
Quatre filles ont partagé leur cheminement.
Le mensonge de l’alcoolique, c’est de refuser le reflet du clown alors qu’il met lui-même le costume tous les soirs.
C’est comme si la société disait que ça te prend un char pis de la bière pour fonctionner.